Particularité exceptionnelle sur une GTO, 3851GT est dépourvue d'anti-brouillard avant. De plus, la grosse différence entre ce châssis et 4293GT,
que j'utilise comme base (voir ci-dessous), est l'absence des embases réhaussant les feux arrière. Sans oublier, comme à chaque modification
d'une 250 GTO issue de chez Kyosho, d'ouvrir les ouïes arrière bizarrement obstruées sur toutes les reproductions de la marque.
Donc une fois le décapage terminé, les travaux de carrosserie peuvent commencer:
Comme à mon habitude lors de modification de carrosserie, je passe une première couche de mastic en bombe, histoire
de corriger les derniers petits défauts.
Dès lors, je peux appliquer les premières couches de peinture. En même temps j'ai déjà préparé les carrés blancs spécifiques à ce châssis,
destinés à recevoir les numéros de course.
Le petit inconvénient quand on utilise du papier décalcomanie à imprimer, c'est qu'il est généralement très fin et a tendance à devenir
légèrement transparent une fois aposé. Pour contourner ce problème et obtenir un beau blanc opaque, j'en ai simplement superposé deux, recouverts
chacun d'une couche de vernis.
Les grosses modifications étant derrière nous, la carrosserie étant peinte et vernie, nous pouvons commmencer le remontage de la belle.