Ayant choisi de reproduire 3223GT lors de sa présentation du 24 février 1962, il y a un peu de travail à faire sur la carrosserie, et comme
je pars d'une base Burago, plusieurs éléments sont à reprendre, à commencer par les feux avant que j'ai décidé de mastiquer pour plus de réalisme.
Lors de sa présentation, les trois ouïes avant étaient fermées, avec un peu de scotch je suis parvenu à me faire des masques et me servir
de la carrosserie comme moule. La prise d'air centrale est aussi plus étroite, elle a donc été réduite.
A l'arrière, le béquet a été limé, les ouïes de refroidissement des freins ont été modifiées et la trappe à essence déplacée.
Une fois peinte, la voiture peut recevoir la bande tricolore italienne faite maison avec du papier décalcomanie jet d'encre.
S'en suivent trois couches de vernis pour fixer le tout et le petit coup de polish qui met le point final aux travaux de carrosserie.
Petit essai avec des roues fils BBR, elle commence à avoir de l'allure cette GTO !
Passons à l'intérieur qui est vraiment différent de la version finale de la GTO. Le tableau de bord est très ajouré, et plusieurs boitiers
électriques ne sont pas encore masqués. Avec l'ajout d'un kit de ceinture en photodécoupe et un joli volant, l'habitacle est parfait.
A noter que j'ai volontairement laissé l'amélioration du moteur de côté, celui de la Burago étant bien trop volumineux donc moins réaliste.
Voila, le châssis est totalement remonté, il ne reste plus qu'à installer les phares avant et arrière ainsi que les jantes à rayons. Par chance,
il me reste des pots d'échappement réquisitionnés sur une Kyosho, qui finira parfaitement cette 250 GTO.